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103. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Oui, la France doit à Molière quelque chose du bon sens qui fait sa force, et de l’esprit français qui fait sa gloire. […] Je ne dis pas que dans les campagnes, où le travailleur exerce jusqu’à l’épuisement ses forces musculaires, la simple inaction ne soit pas une distraction suffisante, et qu’un repos du corps, entremêlé de causerie, de musique simple ou de danse violente, ne fasse pas, avec les heures passées à l’église, une journée de relâche suffisante, quoique la danse ait ses inconvénients, et que le cabaret soit trop souvent en face de la porte du temple.

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