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53. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Il se souvient des croûtes de pain noir, de la claire fontaine, des affiches qui doublaient son pourpoint, et il bénit le ciel qui a mis un terme à ses malheurs ! […] La Fontaine et Térence ! […] « Cet Eunuque a pensé déshonorer La Fontaine et Térence », disait Brueïs en sa préface. […] La Fontaine n’a pas traduit ce passage d’une énergie, digne des satyres de Régnier, nous racontant les infamies de Macette. […] Surtout le scandale avait été grand dans la bonne ville, quand elle eut appris que La Fontaine lui-même, oui, La Fontaine, avait remplacé par un cilice, les belles courtisaneries florentines, et qu’il avait arraché, de son front contrit, les roses de Boccace pour y placer les épines de Baruch.

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