On pourrait écrire de lui ce que l’on a jadis écrit d’Homère : « Et depuis trois cents ans, Molière respecté Est jeune encore de gloire et d’immortalité. » Il est peut-être même, avec La Fontaine, le seul de nos écrivains que comprennent et goûtent les lecteurs de tous milieux et de tous âges. […] Ce don, qui est l’apanage suprême de la raison, deux hommes, dont les noms sont inséparables, l’ont entre tous possédé : La Fontaine et Molière.