/ 173
126. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Oui, Madame, ah, ma foi la colle est ravissante… Il a de ces boissons, comme j’en ai dans l’oeil… Fit à son ennemi passer le goût du pain. […] Et les erreurs ou les doutes sur la filiation étaient fréquents, à une époque où l’état civil n’était pas tenu officiellement : un très grand nombre de procès de ce temps en font foi. — On a voulu voir dans ces dénouements, dont on doit, malgré tout, reconnaître l’infériorité, un calcul  : ils seraient destinés à couvrir une intention profonde ou perfide de Molière. […] Des « naturels rétifs », qui « se roidissent contre le droit chemin de la raison », un « monstre plein d’effroi » que l’on s’est formé De l’affront que nous fait un manquement de foi  : une « pleine droiture » où l’on « se renferme », de « molles complaisances » qui Donnent de l’encens à nos extravagances… il semble qu’il y ait là de quoi justifier toutes les critiques.

/ 173