Molière croît en Dieu et le défend, — et cette foi n’a pas chez lui une origine religieuse. […] Je le comprends en effet chez ceux dont la foi, rencontrant Dieu partout, donne à toutes les créatures une inestimable valeur ; pour des chrétiens enfin qui savent retrouver la sainte volonté de leur maître ] dans la faveur des hommes comme dans les outrages et les injustices qui trop souvent répondent à leur dévouement.