La scene est finie : Alceste, dans deux ou trois couplets, a dévoilé, à la vérité, la droiture de son caractere, en apostrophant la satyrique Célimene & ses fades adulateurs ; mais il n’a rien fait de ce que j’attendois sur sa parole. […] Les Législateurs du Théâtre, tant anciens que modernes, nous apprennent qu’une scene est imparfaite si, lorsqu’elle commence, ou qu’elle finit, l’acteur qui entre ou qui sort ne nous en dit pas la raison.