Une comédie étant obligée de finir, il est bon que l’auteur avertisse, par la faiblesse même de son dénouement, que cette fin n’est pas vraie, mais seulement obligatoire. — Molière, semble-t-il, n’a pas eu cette intention nette ; il a accordé peu d’attention au dénouement, parce que c’est une pièce essentielle de l’intrigue, et que l’intrigue est pour lui chose secondaire.