Stukéli finit l’acte en disant : Que des hommes formés d’une trempe commune, Esclaves de l’honneur, ennemis du repos, Achetent la richesse au prix de leurs travaux : Le fourbe bien plus vîte arrive à la fortune38. […] Béverley finit l’acte par ces vers : Plaisirs faux & trompeurs, pleins d’horreur & d’alarmes, Le repentir vous chasse à jamais de mon cœur. […] Ainsi finit cette piece remplie de beautés, mais noyées dans beaucoup de verbiage. […] Nous avons déja dit, je crois, que les Anglois finissent tous leurs actes, quoiqu’en prose, avec quelques vers sententieux : en voilà la preuve.