Molière semble pourtant l’avoir aimée : il a travaillé plus et mieux que d’autres à qui l’on en fait honneur, à la grande rénovation de la fin du siècle dernier. […] Guillaume Morel, Paris, 1553, p. 19), ne doit point s’irriter contre son fils… Donnez de bonne grâce à voire fils ce qu’il demande, si vous voulez qu’il soigne votre vieillesse, au lieu d’en souhaiter la fin (id.