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145. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

… elle en a, Covielle, du plus fin et du plus délicat. […] A la fin, le roi promit de laisser jouer la pièce. […] Molière a raison, je vous jure, et le zèle de ces gens est intolérable à la fin. […] Il est, il faut le redire à la fin de ce livre, l’incarnation même de l’esprit de notre France. […] Quelle fin attristante et quelles piteuses funérailles alors !

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