… elle en a, Covielle, du plus fin et du plus délicat. […] A la fin, le roi promit de laisser jouer la pièce. […] Molière a raison, je vous jure, et le zèle de ces gens est intolérable à la fin. […] Il est, il faut le redire à la fin de ce livre, l’incarnation même de l’esprit de notre France. […] Quelle fin attristante et quelles piteuses funérailles alors !