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136. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Reste cependant que cette outrance gâte la pièce, du reste vraie, juste, fine et spirituelle à souhait. […] C’est la fin de Don Juan. […] Excellemment vu et le portrait est très fin. […] La Bruyère trouve le Tartuffe de Molière un peu gros, et il fait le sien, de temps en temps, insuffisamment fin. […] Je n’ai pas besoin de dire-que la fin du portrait d’Onuphre est exquise.

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