Et le lendemain, le fils du tapissier gâtait du beau velours, et se cognait les mains du marteau paternel. […] C’était déjà, parmi Messieurs les poètes et les comédiens, la mode (il fallait bien rassurer les pères de famille) de prendre un nom de comédie, et le fils de Poquelin, avant de débuter (1645), s’appelle Molière. […] Ainsi, l’amoureux Sganarelle est un pantin dont cette aimable fillette, en riant, tient tous les fils ; et jugez de l’étonnement de ce triste sire, en voyant comme on s’est amusé de sa vaine sagesse ! […] Paris, Pierre Bienfait, 1662. — Les Galants ridicules, ou les Amours de Guillot et de Ragotin, comédie (id., id.). ibid., id., 1662. — Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils, comédie (2 a. v.).