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12. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398

Elle arrive ; on fait croire au pere que c’est la maîtresse de son fils, qui veut s’introduire dans sa maison sous le titre de sa fille. […] Bientôt il découvre que c’est réellement sa propre fille qu’il a condamnée à la mort ; il tire un grand mouchoir, pleure, fait fondre tout le monde en larmes. […] Oronte, de la part de la Médecine, de procéder au mariage conclu avec sa fille, qu’il n’ait auparavant guéri M. de Pourceaugnac. […] Oronte, parcequ’il vient épouser sa fille. […] Un tel procédé touche si fort Oronte, qu’il propose sa fille à Eraste, en augmentant sa dot de dix mille écus.

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