Madame de Sévigné écrivait à sa fille, le 6 décembre 1671 : « Madame de Richelieu est assez bien placée ; si madame de Scarron y a contribué, elle est digne d’envie. […] Madame de Sévigné écrivait à sa fille, le 25 décembre 1671 : « Voilà madame Scarron qui a soupé avec nous.