Il y a là une idée ; et la comédie est de 1670 ; elle n’a suivi que d’un an la nôtre, et elle est d’un comédien, Matthew Medbourne, et d’un comédien qui faisait figure à la cour, à cette cour de Charles II, avec laquelle la cour de France était en relations étroites, nos esprits forts échangeant le salut avec ceux d’Angleterre. […] dit-elle. — Son esprit est rusé, suggère Dorine, moins pénétrante qu’Elmire et qui se figure le monstre plus Tartuffe qu’il n’est.— Non, non, réplique la dame, à qui n’a nullement échappé la vanité du drôle et la béate confiance en ce qu’il se croit de fascination : Non, l’on est aisément dupé par ce qu’on aime, Et l’amour-propre engage à se tromper soi-même.