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96. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Vous le lisez au coin de votre feu ; ce n’est plus cela. […] Tel récit qui vous semblait long s’anime et prend au feu de la rampe du relief et de la couleur. […] C’est un jeu plein de variété et de feu. […] Et si le feu avait pris ? […] Le feu ne prenait pas, et voilà tout.

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