Un soldat ivre se présente ; il croit avoir rendu le plus grand service à l’Etat ; il dit : J’étois sur un vaisseau quand Ruiter fut tué, Et j’ai même à sa mort beaucoup contribué ; J’allai chercher le feu que l’on mit à l’amorce Du canon qui lui fit cracher l’ame par force. […] Où donc s’est retiré cet objet de mes feux ? […] Orphise toutefois, malgré son désaveu, Daigne accorder ce soir une grace à mon feu ; Et j’ai fait consentir l’esprit de cette belle A souffrir qu’en secret je la visse chez elle. […] toujours quelque obstacle aux feux qu’elle autorise !