Il est peu vraisemblable qu’il l’ait consultée sur Le Misanthrope et sur Les Femmes savantes. […] L’École des femmes, comédie en cinq actes et en vers, 1662. […] Sa première femme était une clabaudeuse éternelle, qu’il savait étriller sans s’émouvoir. […] Dans ce dernier acte l’on voit le paysan dans le comble de la douleur, par les mauvais traitements de sa femme. […] Le bruit et les cris avaient causé une alarme terrible dans la troupe ; les femmes croyaient être mortes, chacun cherchait à se sauver, surtout Hubert et sa femme, qui avaient fait un trou dans le mur du Palais-Royal, etc.