J’avoue toutefois que je suis moins touché de cet inconvénient ; je professe cette doctrine, commode à mon insuffisance, que le neuf, dans la critique littéraire, c’est le faux. […] Elle tâche à couvrir d’un faux voile de prude Ce que chez elle on voit d’affreuse solitude, Et pour sauver l’honneur de ses faibles appas, Elle attache du crime au pouvoir qu’ils n’ont pas. […] L’exacte raison de Molière est bien éloignée d’une pensée si désolante et si fausse.