/ 204
108. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

Il est bien entendu, toutefois, que ce n’est qu’avec une certaine crainte que nous exposons nos idées, et que nous sommes tout disposé à les reconnaître fausses si les raisonnements qui vont suivre paraissent insuffisants. […] Les traditions contemporaines sont fausses. […] Sommes-nous sur une fausse voie ?

/ 204