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134. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Moliere, qui étoit facile à s’indigner, fut si piqué de la destinée de son cahier de traduction, que dans la colere il jetta sur le champ le reste au feu. […] Volume de cette Edition, page 464. il ne seroit pas facile de justifier Moliere du reproche que le même Critique lui fait d’avoir quelquefois negligé la pureté de la langue, dans les vers où il devoit être le plus exact ; mais c’est dans cette occasion, ou jamais, qu’on doit dire avec Horace, Hic ubi plura nitent in carmine non ego paucis Offendar maculis, &c.

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