/ 138
13. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

Une imagination vive, un langage souple et harmonieux leur rendaient facile l’improvisation qui était, du reste dans les habitudes de la nation. […] Cette persistance de chaque acteur dans son personnage rendait plus facile l’obligation d’improviser le dialogue, ce qui était, comme nous l’avons dit, une condition essentielle de la Comédie de l’art.

/ 138