Le même amateur des anciens ajoute : « Il me serait facile de nommer beaucoup d’anciens, comme Aristophane, Plaute, Sénèque le tragique, Lucain et Ovide même, dont on se passe volontier s357. » Parmi les poètes français, il admire froidement Corneille, Molière, Racine même, sans les goûter. […] Rien ne lui serait plus facile que de s’en convaincre, s’il le voulait.