On a vu, dans la relation de ces fêtes connues sous le nom de Plaisirs de l’Île enchantée, que le roi, personnellement satisfait des trois actes qu’il venait d’entendre, et persuadé des bonnes intentions de l’auteur, n’en avait pas moins cru devoir défendre la représentation publique d’une comédie qui, quoique dirigée contre la seule hypocrisie, pouvait être d’une fâcheuse conséquence pour la véritable dévotion. […] Il est fâcheux que Ménage ne nous ait pas appris ce que lui avait répondu le premier président.