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13. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

C’est « une sottise, la plus grande du monde, de vouloir s’élever au-dessus de sa condition549. » « Les alliances avec plus grand que soi sont sujettes toujours à de fâcheux inconvénients550. » IX. […] Mais on doit songer que « rien n’use tant l’ardeur de ce nœud Que les fâcheux besoins des choses de la vie ; Et l’on en vient souvent à s’accuser tous deux De tous les noirs chagrins qui suivent de tels feux557. […] Quand Henriette se croit ruinée, et que Clitandre veut l’épouser quand même, elle dit tristement :   Rien n’use tant l’ardeur de ce nœud qui nous lie   Que les fâcheux besoins des choses de la vie ;   Et l’on en vient souvent à s’accuser tous deux   De tous les noirs chagrins qui suivent de tels feux.

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