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77. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

On les emploie pour exprimer ces vérités équivoques qu’on peut nier, qu’on peut affirmer avec un succès égal : ressource inestimable pour les dissertations académiques. […] Nous nous bornerons à rappeler que Chapelain s’y est fait la plus belle part, 3,000 livres, comme au plus grand poète français qui ait jamais été (ainsi s’exprime ce document) ; que Corneille y est porté pour 2,000 livres, Molière pour 1,000 seulement.

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