Despréaux a si bien exprimé dans sa septième Épître, adressée à M. […] Quinault, lorsque ce dernier travaillait dans le genre lyrique, qu’en des termes qui exprimaient plus la satire que la louange. […] Nous avons eu cet hiver le Fédéric 1, qui a fort réussi, sans doute avec quelque raison, puisqu’il ne part rien de la veine de son auteur qui ne soit plein de feu ; témoin sa Clotilde, où la boutade est bien exprimée.