Les apparitions du Lutin qui, selon l’expression de Molière même, lui dictait ses beaux vers, devenaient tous les jours moins fréquentes. […] Malgré ses défauts, malgré les reproches qu’on fait à quelques-uns de ses dénouements, à quelques négligences de style, et à quelques expressions licencieuses, il fut avec Racine celui qui marcha le plus rapidement vers la perfection de son Art.