Corneille explique, dans l’Avis au lecteur de sa comédie du Menteur, les raisons qui l’ont empêché de joindre, au bas des pages, les vers imités de Lope de Vega, comme il avait fait ceux de Guillén de Castro, et de Lucain, dans cette nouvelle édition du Cid et de Pompée. […] « Après avoir obtenu le consentement qu’elle souhaite, elle exige de ces mêmes princes qu’ils applaudiront au choix qu’elle va faire : et les deux princes, qui s’étaient expliqués, ne forment aucun obstacle ; elle déclare qu’elle donne la préférence à celui qui a su vaincre le dédain par le dédain ; alors le prince, lui demandant qui il est, elle répond : toi seul, et lui donne en même temps la main.