Cela, dès à présent, nous explique en partie comment nous le verrons y chercher, jusqu’au dernier jour, un soulagement à ses plus amères tristesses. […] Rentrant un jour de la comédie, il ne put résister au désir de tout expliquer à son père ; il lui confessa en tremblant (heureusement le grand-père était là), qu’il lui était impossible de s’accoutumer à sa profession, et qu’il désirait qu’on le fît étudier. […] N’en voulant pas tout perdre, cependant, il y puisait de temps en temps quelques vers, pour ses autres pièces ; et des passages entiers s’en retrouvent dans le Misanthrope, dans Tartuffe, dans les Femmes Savantes ; mais il eut pu y puiser encore, entre autres ces beaux vers : Un soupir, un regard, une simple rougeur, Un silence est assez pour expliquer un cœur.