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133. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8

Pendant sa vie, c’était l’esprit de dénigrement qui appelait l’attention sur les sources où il puisait. […] L’action dramatique ne paraît pas avoir été très naturelle à l’esprit français qui a toujours été fort enclin aux discours. […] Molière n’eut garde de dédaigner les leçons de ces excellents praticiens : il apprit à leur école à traduire pour la perspective de la scène telle disposition de caractère, tel retour de sentiment, telle préoccupation d’esprit dans un personnage.

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