« L’on fit entrer dans la salle un bon et riche marchand de Paris, nommé M. […] Le lecteur nous saura gré sans doute d’entrer dans quelques détails sur ce poteau qu’on peut regarder comme un monument. […] Les premières pièces italiennes ne furent jamais imprimées ; les comédiens italiens n’apprenaient rien par cœur, et « il leur suffisait, pour jouer une comédie, d’en avoir vu le sujet un moment avant que d’entrer sur le théâtre » 40.