On y promene le spectateur dans une galerie de portraits, faits, à la vérité, de main de maître, mais qui peuvent se transporter, se retrancher même au gré de l’acteur, & qui nous peignent des personnes avec lesquelles il est très inutile de lier connoissance, puisque la plupart ne doivent entrer pour rien dans la piece. […] « Les personnages importants doivent toujours avoir une raison d’entrer & de sortir ; & quand cette raison n’est pas déterminée, il faut qu’ils se donnent bien de garde de dire je sors, de peur que le spectateur, trop averti de la faute, ne dise : Pourquoi sortez-vous ?