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80. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Il parut tout de suite entier et complet. […] Il faut l’entière et rare imbécillité de ce bourgeois pour que le fourbe ne perde pas aussitôt tout crédit. […] J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. […] C’est l’homme, c’est l’humanité tout entière qu’ils trouvent dans cette comédie. […] Il est certain que la pièce tout entière laisse une impression de tristesse, malgré le dessein de Molière.

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