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119. (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15

Mais le public n’existe pas pour l’avocat ; il n’a devant lui qu’un adversaire et des juges : combattre l’un, convaincre les autres, voilà sa tâche; et ceux qui, au fond de l’audience, viendraient l’entendre comme orateur, ne seront jamais un public, car ils n’ont le droit ni d’applaudir ni d’improuver. […] Votre procureur s’entendra avec votre partie et vous vendra à beaux deniers comptants.

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