Vous allez croire que je suis l’ennemi de la Thèse. […] Elle analyse sans ménagement, elle observe sans pitié ni pudeur, comme on fourrage en pays ennemi; c’est de vive force qu’elle s’empare de la vérité : elle a raison.
Vous allez croire que je suis l’ennemi de la Thèse. […] Elle analyse sans ménagement, elle observe sans pitié ni pudeur, comme on fourrage en pays ennemi; c’est de vive force qu’elle s’empare de la vérité : elle a raison.