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16. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Propos d’ennemi, il est vrai. […] S’imagine-t-on le courage qu’il fallut à Molière pour achever une telle comédie en présence des ennemis qu’elle lui suscitait ? […] Voilà Paris en ébullition, les ennemis sur pied, les dévots en armes, les fanfarons de vertu prêts au combat. […] Tous les contemporains, voire les ennemis, s’accordent à reconnaître que Molière fut un comédien excellent. […] L’ennemi n’est point généreux.

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