Mais bien plus, mon Censeur, qui insulte Molière et l’Auteur de sa Vie par des termes un peu trop forts, ne sait pas apparemment qu’il n’y a point d’Auteur, pour peu surtout qu’il se soit rendu recommandable, que l’on ne traite de Monsieur, quand on parle de lui dans un temps peu éloigné de celui où il a vécu, et que ses enfants vivent encore.