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80. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

Soit : puisque l’affaire est sérieuse, je ne suis pas assez mauvais pere pour empêcher la fortune de ma fille : je vous la promets donc. […] Mais qu’est-ce qui empêche que nous fassions la noce dès aujourd’hui ? […] il prend fort bien la peine de lier la gueule du soufflet . . . . pour empêcher que pendant son sommeil, le soufflet ne perde un peu de son vent. . . . . . . .

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