Et cette indignation d’évêque et de « Père de l’Église809, » l’a empêché de voir dans Molière autre chose que le type du comédien et la personnification de la corruption théâtrale. […] Mais, par cette fatalité qui empêche quelquefois des contemporains illustres de se connaître, il a méconnu Molière, comme Boileau a ignoré La Fontaine, comme la marquise de Sévigné a peu goûté Racine.