Don Sanche apprend que son fils n’est pas mort ; il change alors de dessein, ne veut plus donner sa fille à celui qui l’offensa, veut charger son fils d’une vengeance que sa vieillesse l’empêche de prendre lui-même ; il lui écrit de se rendre bien vîte auprès de lui. […] Elle se trouble, prie Don Alvar d’empêcher qu’elle ne soit suivie par le cavalier qui vient. […] Et voulez-vous que cette considération empêche notre vengeance ?