Je voudrais tenir ici quelque partisan outré de la règle de la voûte : « Qu’on ne puisse rien ôter d’un drame. » Ils consultent cette règle, au lieu d’avoir l’œil sur le cœur du spectateur, seule boussole du poète, quelqu’Alfieri, quelque Boileau, je suis peut être injuste envers ce dernier en le nommant ici, il sentait peut-être le mérite de cette scène mais aurait probablement désapprouvé par suite de la même règle, et faute de regarder le cœur du spectateur, le grand nombre d’acteurs du Timon et de Shakespeare.