Auteur comique il est, et cela lui suffit ; et n’étant que cela, il se trouve être à mes yeux le plus grand, le plus extraordinaire, le plus complet des génies dramatiques passés, présents et futurs. […] Évidemment il attache trop d’importance aux querelles religieuses, et j’ai peine à le croire lorsqu’il nous assure, par exemple, que l’intérêt dramatique de Polyeucte gisait pour les contemporains dans l’antithèse entre le molinisme et le jansénisme, autrement dit entre la doctrine du libre-arbitre et la thèse de la grâce irrésistible.