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13. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Peut-on souffrir une plus douce peine ! Peut-on subir une plus douce loi ! […] Mlle de Brie, toujours douce, prit la réduction pour elle. […] Qu’il lui fut de doux efforts ! […] J’en aime le chagrin, le trouble m’en est doux.

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