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114. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Elle fut, dans ces voyages, une des plus douces joies de Molière. […] Bouteille ma mie, Qu’ils sont doux ! […] O célestes plaisirs, doux transports d’allégresse ! […] Avec la dextérité qui lui est particulière, il se façonne un masque auquel tout le monde se laisse prendre, bien que derrière on eût pu le voir qui continue de mener sa douce et béate existence. […] Ici l’on pensait qu’il tenait pour Loyola ; là, au contraire, on croyait qu’il était attaché aux Arnauld, tant son doux visage semblait dire à tous : Je suis des vôtres.

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