Cette scene inimitable est encore animée par la vivacité avec laquelle les deux amants, aidés de Marinette & de Gros René, déchirent leurs billets doux, se rendent tous les présents qu’ils se sont faits ; & enfin par leur raccommodement, qui, venant immédiatement après leur démêlé, forme le contraste le plus frappant, & en même temps le plus naturel. […] ce que j’ai pour vous d’ardeur & de tendresse, Passe aussi celle d’un époux ; Et vous ne savez pas dans des moments si doux Quelle en est la délicatesse. […] Que cet instant m’est doux ! […] O retour qui m’est doux !