Les vers les plus nobles, les plus doux, les plus sublimes de la langue, se terminent par des monosyllabes formés de cette diphtongue. […] Qu’il soit doux, complaisant, officieux, sincère ; On le veut : j’y souscris et suis prêt à me taire.
Les vers les plus nobles, les plus doux, les plus sublimes de la langue, se terminent par des monosyllabes formés de cette diphtongue. […] Qu’il soit doux, complaisant, officieux, sincère ; On le veut : j’y souscris et suis prêt à me taire.