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107. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174

Les vers les plus nobles, les plus doux, les plus sublimes de la langue, se terminent par des monosyllabes formés de cette diphtongue. […] Qu’il soit doux, complaisant, officieux, sincère ; On le veut : j’y souscris et suis prêt à me taire.

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