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110. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

C’était ce docteur célèbre par l’abondance et la facilité de ses bénédictions, qui fait des livres où le christianisme est réduit à rien et qui parle doux du haut d’un beau ventre. […] Mais j’ajoute que le grand péché est celui des docteurs, des prédicateurs et des apologistes du péché, et que si des hommes peuvent être haïssables, ce sont ceux qui disent que le mal est le bien, enseignant ainsi à faire le mal avec sécurité.

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