On peut les traduire ainsi : Nés Français, éprouvés par cent périls divers, Le Gange nous a vus monter jusqu’à ses sources, L’Afrique affronter ses déserts, L’Europe parcourir ses climats et ses mers ; Voici le terme de nos courses, Et nous nous arrêtons où finit l’univers. […] Les poésies diverses de Regnard ne sont pas indignes d’attention.