Quand, arrivé au terme de cette délicate et intéressante étude, on désire.mettre en ordre toutes les idées qui se sont agitées dans l’esprit, la première impression qu’on éprouve est un étonnement profond que Molière ait été, au point de vue moral, si peu compris ou si incomplètement apprécié par des juges illustres à divers titres : l’autorité de leur génie et de leur nom est impuissante à faire accepter leurs étranges conclusions.